Depuis quelques temps, j’essaie d’oublier la maladresse, et parfois l’absence, de mon mari au lit en m’amusant avec mon collègue de bureau, Éric. Moi, je m’appelle Mélanie, j’ai 53 ans, mariée depuis 25 ans et j’ai deux grands garçons.

Ma soirée du vendredi a été horrible. Je ne peux oublier le moment magique entre moi et Éric dans la réserve de la boite dans laquelle nous travaillons. Même le samedi soir, quand mon mari a voulu me faire l’amour, c’était l’horreur. Impossible de m’ôter de la tête l’image de la queue longue et si épaisse de mon amant, ses baisers, ses caresses, le plaisir que j’ai ressenti lorsqu’il m’a pénétré et les 2 orgasmes successifs qu’il m’a procurés. Impossible aussi de ne pas comparer tout cela aux galipettes sans gout ni excitation que je vis avec mon partenaire.

Tous les jours, je n’ai qu’une seule envie, être avec Éric, de le toucher, de sentir son parfum et de profiter de ses caresses sur ma peau. En fait, mon mari me caresse à peine, ne prend pas le temps de m’exciter, et est toujours impatient de me pénétrer dans une position de missionnaire sans saveur ni originalité. Alors, je ferme les yeux et je tente de m’imaginer avec mon amant, mais je n’éprouve aucun plaisir. C’est à peine si je ressens sa bite entrer en moi, une bite ridiculement petite qui ne tient que 2 ou 3 minutes avant de se vider et de redevenir toute raplapla. Une fois qu’il termine ses affaires, mon mari se tourne de son côté et s’endort aussitôt, me laissant frustrée.

Le dimanche venu, je n’arrivais plus à me retenir.

Malgré que je lui aie demandé de ne pas m’appeler le weekend quand je suis en famille, je lui envoie un texto : « Coucou Éric. Tu me manques trop. J’ai envie de toi »

Quelques minutes après, il me répond :

« Si tu es seule et que tu veux m’appeler, fais-le. Mais fais gaffe quand même!! »

Je compose son numéro, il décroche après une seule sonnerie :

« Salut ! Qu’est-ce qui t’arrive Mélanie ? »

« J’avais trop envie d’entendre ta voix. Tu me manques beaucoup. C’est horrible, j’ai trop envie de toi et je n’arrive plus à me contrôler »

« Eh ben ! Quelle déclaration flatteuse chère madame ! Moi aussi, j’ai adoré notre petit câlin de vendredi »

« Oh oui ! Je ne pense qu’à ça. Tu m’as rendue folle. Bon, mon mari est dans le coin, je ne peux pas trop te parler. Bisous mon cœur. A lundi »

« A lundi … bisous »

Juste à temps ! Mon mari rentre dans la chambre quelques secondes après.

Le lundi était un jour très ordinaire. Nous nous sommes croisés au bureau, pas un échange, juste quelques regards. Mais, à la fin de la journée, Éric m’a invité chez lui pour « prendre un café ». Sans aucune hésitation, j’ai accepté, même si je n’y allais pas vraiment pour son café.

Une fois chez lui, il m’invite à m’assoir dans son canapé avant d’aller à la cuisine apporter les cafés. Quelques minutes plus tard, il revient dépose un plateau sur la table basse, mets de la musique et s’installe à côté de moi. Il passe délicatement son bras derrière ma tête et m’embrasse chaleureusement. Son autre main parcourt ma cuisse, relève légèrement ma petite robe en jean et continue son chemin jusqu’à ma poitrine.

Il prend, ensuite, un peu de recul, me regarde et dit :
« Tu es magnifique dans cette petite robe. Je te préfère et de loin habillée ainsi. Je te trouve terriblement sexy comme ça »

Aussitôt, il a commencé à déboutonner ma robe et à l’ouvrir, découvrant mon soutien-gorge en dentelle.

Je me laisse alors aller sur le canapé en fermant les yeux. Je sentais sa main me caressant les seins, ses lèvres sur mes tétons, ses baisers dans mon cou, remontant jusqu’à mon oreille. Ensuite, il s’attarde sur mes tétons bien érigés, les mordille, les suce et aspire presque tout mon mamelon.

cunnilingus femme infidèle

D’un geste rapide il ouvre les derniers boutons de ma robe, s’agenouille devant moi et plonge entre mes cuisses. Il suce et lèche alors mon clitoris puis les lèvres humides de ma chatte, dégustant ainsi le jus qui en sortait. Ses lèvres entouraient ma vulve tandis que ses mains pétrissaient encore et encore mes seins. Je n’hésitais pas à pousser quelques gémissements de plaisir et parfois des cris incontrôlables en me tordant sur son canapé. A peine remise de ce tsunami de jouissance qu’il se relève rapidement et me fait glisser sur le bord du canapé.

En tenant sa queue raide et gonflée d’une main, il caresse ma vulve et mon clitoris en frottant son gland contre ma chatte avant de me pénétrer lentement. Je sens son impressionnante bite entrer en moi de toute sa longueur. Je n’arrivais plus à quitter son pieu qui s’enfonçait et sortait de mon vagin des yeux. Dur comme un roc, il laboure les parois de mon vagin et bute tout au fond.

En me tenant par les hanches avec ses deux grandes mains, il intensifie ses va et vient.

Il me demande alors de mettre mes jambes sur ses épaules, de chaque côté de son cou pour mieux me défoncer. Avec l’accélération des mouvements, j’explose très vite dans un deuxième orgasme en projetant plein de jus sur ses cuisses et son pubis. Sans interruption, il continue à me baiser violemment et sans ménagement. Ses coups de reins se font de plus en plus forts, son énorme pénis déchire ma vulve et je la sens comme plus large et sensible. J’arrivais même à sentir ses couilles qui viennent taper contre mes fesses. Mes mains se crispent, je m’agrippe aux coussins, je crie de plaisir et un troisième orgasme me submerge. Me voyant ainsi, il jouit enfin en moi, remplissant ma chatte de son sperme chaud et abondant. Il termine d’éjaculer en lâchant des gémissements de plaisir.

Je suis épuisée, anéantie même. Je n’ai jamais vécu autant d’orgasmes et de plaisir auparavant.

Éric était le seul homme capable de me procurer un plaisir époustouflant en aussi peu de temps. J’étais incapable de bouger ou de me relever. Je suis restée quelques instants effondrée sur le canapé, reprenant mon souffle et mes esprits. Éric se retire, sortant sa grosse bite encore raide de ma chatte qui s’est immédiatement vidée de tout le foutre qui l’inondait. Je sentais son sperme couler entre mes lèvres et jusqu’à mon anus.

Il s’assoit ensuite à cote de moi, me prend dans ses bras, m’embrasse tendrement et je m’assoupis sans le vouloir, blottie contre lui. Quelques minutes plus tard, il me réveille, me rappelant la triste réalité : il se faisait tard, je dois rentrer chez moi.

FIN