Je suis un homme de 35 ans et je suis mariée depuis 10 ans. Depuis quelques années ma femme ne semble plus avoir envie de faire l’amour, ou peut-être ne semble plus avoir envie de moi. Je suis tellement en manque que je compense mes envies avec des masturbations sur des vidéos pornos. Mais mes pulsions sont si fortes que cela ne me suffit plus. Depuis une semaine, mon for intérieur s’est engagé dans une guerre interne, mais mes envies ont pris le dessus. J’étais décidé, je voulais un plan cul !

La chasse est ouverte

Je ne savais pas trop par où commencer. Je suis dubitatif entre accepter les avances de la stagiaire dans notre boite ou opter pour une inconnue. Pour plus de praticité et moins de chichi, la deuxième option était la plus adaptée. Je me suis alors inscrit sur https://www.gareauxcoquines.com sous le conseil avisé de mon meilleur ami.

Une fois inscrit, je suis tombé sur des profils différents de coquines, de cougars ou encore d’amatrices. Toutes étaient attirantes les unes que les autres. Mais bizarrement, je cherchais celle qui ressemblerait le plus à ma femme. En effet, j’ai un faible pour les blondes aux yeux bleus avec un tour de poitrine moyen. Mais une idée m’était venue en scrollant les profils. Je me suis alors demandé pourquoi ne pas changer un peu, histoire de découvrir de nouveau goût.

Je me suis alors porté vers l’antipode de mon choix initial. Je cherchais une brune aux cheveux longs avec des yeux noirs. Mais par-dessus tout, je voulais une avec des bonnets D. Après quelques heures de réflexion, mon choix s’est arrêté sur une bombe avec une annonce excitante.

Le premier contact était rapide. Elle m’a tout de suite fait part de ses envies et de ce qu’elle attend. Apparemment, elle préfère les hommes qui savent jauger leur force. Sa façon de m’écrire et de décrire ses envies m’excitait encore plus. Et ses exigences me challengeaient à max que j’en bandais rien qu’en y pensant.

Des préliminaires langoureux

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Le jour du rendez-vous, on s’est retrouvés dans un hôtel. Ma femme était soudainement partie en mission la veille, ça m’arrangeait bien.

L’attendant dans la chambre, je me suis mis à imaginer des scénarios que soudain on toquait à la porte. L’ouvrant j’ai été subjugué par sa beauté. Je n’ai pas pu m’empêcher de contempler son décolleté plongeant, m’offrant une vue superbe.

J’allais me présenter, qu’elle m’a tout de suite fait signe de me taire. Elle a claqué la porte en entrant. À peine que l’entrée soit verrouillée, elle s’est jetée sur moi.

Surpris, je n’ai pas pu l’attraper qu’on était tous deux tombé sur le lit. Je me suis assis, elle s’accroupissait sur moi me dévoilant sa tour de poitrine. Je ne résistais pas à l’idée d’y plonger mon visage. Elle était très ravie de mon action qu’elle gémissait un peu.

Elle avait ensuite redressé mon montant pour porter mes lèvres aux siennes. D’un geste lent et assez attentionné, elle a porté mes mains vers son dos pour que je désagrafe son soutif. Pendant que nos langues s’entremêlaient, elle s’est levée rapidement pour faire descendre sa robe. Je la retrouvais nue devant moi.

Elle s’est mise à genou pour défaire mon bouton et sortir ma queue. Sur son expression, j’ai vu qu’elle appréciait ce qu’elle voyait. Elle a alors suivi chaque centimètre de ma queue avec sa langue, tout en remontant vers moi.

Des ébats torrides sans lendemain

Elle a soulevait mon t-shirt pendant que mes mains parcourent son corps, découvrant les formes voluptueuses de cette belle brune.

Je lui écartais les cuisses en frôlant les lèvres de sa chatte. J’ai constaté qu’elle mouillait abondamment, ce qui me faisait encore plus bander. J’avais la queue tellement raide que ça commençait à me faire mal.

J’ai alors commencé à caresser les lèvres de sa chatte avec ma queue pour lubrifier un peu. Je l’ai pénétrée doucement, sentant ma queue dilater sa chatte millimètre par millimètre.

Ravie par cet acte, elle a gémi fort et m’a regardé dans les yeux. Elle m’a murmuré ensuite qu’elle aimait ça.

Voulant lui faire encore plus plaisir, j’ai accéléré la cadence. On était emporté par un rythme saccadé alternant rapidité et douceur. Au bout de quelques minutes, je n’ai pu me retenir. Je sentais que j’allais jouir. Au même moment, j’ai senti ses cuisses se serrer, son corps tendu, pour ensuite tout se relâcher sur un spasme serrant ma queue. Elle avait joui en même temps que moi, j’en étais ravi.

crédits photos : tempocams.com, tukif.com