Moi, c’est Emilie, je suis une jeune femme au foyer, mère de deux enfants et mariée depuis une dizaine d’années. Je me suis mariée à l’âge de 21 ans et je connais mon époux depuis 12 ans. C’est mon premier amour et je l’aime toujours autant. Mais il y a quelques années, la charge mentale du foyer nous a presque poussé au divorce… Depuis, on a mis en place un système pour que les week-ends on puisse se retrouver, sortir, nous amuser et nous reposer. Sentimentalement tout va bien mais c’est plus sexuellement que ça pose toujours problème. Pascal ne me touche presque plus et même si on a un moment pour nous, il prend son plaisir en moins de 2 minutes et je n’ai pas le temps de jouir… J’avoue que je n’ai pas eu d’autres partenaires sexuels dans ma vie et qu’au fond de moi il existe des fantasmes inavoués… L’un d’entre eux est la soumission.

Même si toutes les pratiques BDSM ne m’attirent pas, l’idée d’être à la merci totale d’un homme m’a toujours excitée. Je ne parle pas de pratiques BDSM hard mais plutôt de jeux de rôles liés à la soumission / domination. Être attachée, avoir les yeux bandés, recevoir des fessées, obéir, être punie, qu’on me fasse jouir violement etc. Quand Pascal n’est pas là, il m’arrive de consulter des histoires érotiques BDSM sur https://www.lescopinesbdsm.com/histoires-bdsm/ et de m’imaginer que c’est moi qui joue le rôle de la soumise. A chaque fois je suis toute mouillée et je me caresse jusqu’à atteindre l’orgasme…

Un beau jour, je suis tombée par hasard sur un site BDSM où je me suis inscrite par curiosité. Je voulais en savoir plus sur ce milieu, ses pratiques, ses codes et je voulais initier mon mari pour qu’il fasse de moi « sa chose » le temps d’un moment. J’ai créé mon profil, j’ai ajouté une photo (où j’ai pris soin de cacher ma tête mais simplement montrer le haut de mon corps). Un homme m’a alors écrit en privé.

Il se prénommait Charles, il avait 10 ans de plus que moi et se disait Maitre BDSM / Dominateur expérimenté. Je lui ai tout de suite dit que j’étais en couple, que j’avais un mari et que j’étais simplement là pour en savoir plus sur le BDSM. Il l’a très bien pris et j’ai pu lui poser toutes les questions que je voulais. Même si je ne trompais pas mon mari, je me sentais mal d’écrire à un autre homme au sujet de ma sexualité. Il m’a rassuré et on a échangé plusieurs jours de suite par messagerie privée. Un beau matin, il m’a proposé de venir le rejoindre dans son donjon pour que je découvre ma première séance de soumission. Il s’avait très bien que j’étais mariée mais quelque chose au fond moi me disait « tu n’as qu’une vie »… J’ai craqué car il était charmant, attentionné et dégageait une certaine assurance par messages. J’étais autant mal à l’aise que toute excitée à l’idée de le rencontrer et de devenir sa chienne… Oui, nos différents échanges m’avaient déjà préparé mentalement à ce que doit être une bonne soumise obéissante !

Arrivée sur les lieux, il me saluât avec une coupe de champagne. Il était beau, musclé et son regard respirait l’autorité et le sadisme à la fois. Un sourire diabolique se dessina sur son visage. Sans rien dire, il sorti une cravache BDSM, me demanda de me tenir debout, il prit mes mains et les menotta au plafond. Ça y est, j’étais attachée, je ne pouvais pas partir. Il m’expliqua alors que le BDSM est une histoire de consensualité, qu’il ne ferait rien contre ma volonté et que nous devions convenir d’un safeword (un mot de sécurité dans le BDSM) pour pouvoir arrêter la séance à tout moment. Il m’ordonna de l’appeler « Maitre », de le vouvoyer alors que moi j’étais sa « petite chienne ». Oui j’étais définitivement en train de devenir une soumise et je trompais mon mari…

Il m’ordonna de fermer les yeux, il me posa un bandeau sur ces derniers et baissa mon pantalon. J’étais en sous-vêtement mais je sentais déjà la mouille au fond de mon string. Il me murmura à l’oreille « c’est maintenant que ça commence petite soumise ». Il me donna un premier coup de cravache sur mes fesses. La sensation était vive, forte avec une légère sensation de picotement. J’avais mal mais c’était si excitant… Il m’ordonna de compter à haute voix chaque coup que je subissais. Arrivé à 10, il m’offrit ma première récompense… Je senti sa main chaude se glisser au fond de mon string et effleurer mon clitoris. « Si tu veux jouir ma soumise, tu dois le mériter ! ». « Oui Maitre » répondis-je.

Il enchaina les coups avec un martinet. Je sentais les lanières sur ma peau écarlate. J’étais comme hypnotisée et soumise comme jamais. La douleur était presque insoutenable mais rien que l’idée de jouir à la fin me forçait à être forte. Après plusieurs minutes interminables, il me libera les mains et m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Il enleva complètement mon string et me posa un vibromasseur sur mes lèvres humides. Il enchainant les fessées avec sa main et les vibrations du vibro. C’était incroyable ! Sentant que je n’en pouvais plus, il s’écriât « Tu as été une bonne soumise pour ta première fois, maintenant je vais te faire jouir comme jamais ! ». Il me demanda de m’allonger sur le sol, d’écarter les jambes et il commença par me doigter avec un doigt, puis deux et il me fit gicler ! Je n’avais jamais connu cette sensation auparavant… Il retira ses doigts et me força à lécher ma cyprine…

Cette première séance de soumission BDSM avec un Maitre expérimenté fut magique. J’avais connu le plus bel orgasme de ma vie et même si un sentiment de honte était présent en moi pour avoir été infidèle à mon mari, j’étais plus qu’heureuse d’avoir découvert la soumise qui était cachée en moi.

Depuis ce jour-là, je trompe régulièrement mon mari avec mon Maitre, les séances BDSM deviennent de plus en plus hard et nous essayons de ne laisser aucune marque sur mon corps pour que mon mari ne découvre pas ma deuxième vie…