Pascal est l’un de mes collègues les plus proches, puisque nous travaillons sur les mêmes dossiers. Grand, musclé, athlétique et surtout à la peau d’ébène, il a un certain succès auprès de toutes les femmes de l’entreprise.
Pour ma part, j’ai 56 ans, je suis une femme mariée depuis 25 ans et très insatisfaite de mon mari depuis plus de 4 ans. Si physiquement, je trouve Pascal attrayant, je ne l’ai jamais regardé autrement que comme mon collaborateur au bureau. Mais voilà, depuis quelques temps, je me suis mise à considérer toutes les attentions dont Pascal me gratifie comme des signaux de l’intérêt qu’il me porte. Un jour, il m’a invité chez lui sous prétexte de finir un dossier important.
Je me présente donc à son appartement dans la tenue qui lui fait le plus d’effet au bureau, tout en restant sobre et classique. Mon mari est sorti avec les enfants pour me laisser travailler sans contraintes.
Après les salutations, nous avons pris place dans un grand canapé noir situé dans son salon, le dossier était déjà posé sur la table basse. Nous nous mettons de suite au travail. Pascal profite de la lecture d’un schéma pour se rapprocher et mettre sa main sur ma cuisse. Je poursuis la lecture comme si de rien n’était.

Au bout de 5 minutes, il s’est mis à me caresser de manière plus explicite. Je me tourne vers lui et lui demande : « mais que fais-tu ? »

Sa bouche se colla à la mienne, me contraignant à me coller contre le dossier du canapé, à moitié allongée. Pendant que sa langue explorait ma bouche, sa main remonta le long de ma cuisse pour se poser sur ma petite culotte et me caresser à travers sa dentelle. Je me tortille de plaisir sous les caresses insistantes de mon beau black. Avec ses doigts agiles, il repousse le tissu et atteint ma vulve déjà bien humide par l’excitation.
Il écarte mes lèvres, ouvrant un sillon chaud et bien lubrifié. Ses caresses me font gémir de plus en plus et je sens le plaisir monter en moi. Ma jupe s’est naturellement relevée au fur et à mesure que mes cuisses se sont écartées. Je pousse un long gémissement lorsque deux doigts me pénètrent d’un coup. Sa bouche toujours contre la mienne m’embrasse de manière torride. Il me déshabille et je me retrouve nue sur le canapé, Pascal m’allonge et pose ses mains sur mes seins tendus avant de se mettre à sucer mes tétons dressés.
Il se déshabille entièrement, laissant apparaître un corps sculpté aux muscles saillants. Il se place entre mes cuisses pour entamer un cuni dévastateur. D’une de ses mains libre, il cherche un préservatif dans sa poche qu’il me tend pour l’ouvrir. Je le lui retends fébrilement, il l’enfile tout en continuant à me manger la chatte.

femme infidèle baisée par un black

Ce n’est que lorsqu’il lâcha mon clito pour venir m’embrasser à nouveau que je sentis sa grosse bite lourde cogner entre mes cuisses.

D’une main, il place son gland couvert à l’entrée de mon vagin. Il était épais, très large et peine à entrer dans ma chatte. Je sentais mon vagin se dilater au fur et à mesure qu’il s’avançait.
La pénétration se fait millimètre par millimètre, me laissant ressentir toute la largeur de cette queue noire. J’essaie de me détendre au maximum pour lui faciliter la tâche. Pascal était doux et ferme à la fois. En passant ma main entre mes cuisses, je me rends compte qu’à peine la moitié de sa grosse bite black est en moi.
Chaque mouvement m’arrache un cri de plaisir et je jouis en hurlant lorsqu’un doigt vient titiller mon clito et qu’une main se met à malaxer mes seins.
Sa queue est à son maximum dans mon vagin, quand je sentis des jets puissants au fond de mon ventre.

J’ai pensé que la capote a dû céder sous l’effet de la grosseur de sa bite et la violence de ses mouvements.

Il se retire enfin et j’aperçois le préservatif intact mais bien rempli. Après quelques instants de répit, je sens le sexe de Pascal se poser sur mes lèvres tandis qu’une de ses mains m’attrape la tête.
« Nettoie-moi bien la queue salope, je veux qu’elle soit toute propre », me dit-il.
Je ne pouvais la mettre complètement en bouche, mais j’ai fait de mon mieux, avec ma langue, pour ne laisser aucune trace de notre baise torride.
Après ce nettoyage, je me suis allongée sur le canapé et je me suis endormie aussitôt. 30 min plus tard, Pascal me réveille pour me dire qu’il est tard et que je dois rentrer chez moi. Je me rhabille et m’apprête à partir quand il m’embrassa en me pelotant vigoureusement les fesses et me mura à l’oreille :
« Le dossier n’est pas bouclé, il faudra que l’on se revoit un autre soir pour le terminer. »
C’est sur le chemin du retour, je me suis rendu compte que c’était mon premier homme noir et qu’il a fait de moi une vraie salope à black.

FIN

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