Je bosse dans une société de transports où je suis donc essentiellement entourée d’hommes. Cela ne m’a jamais dérangé et à mon copain non plus.
Depuis le temps que j’y travaille, je suis un peu devenue leur pote de taf mais en version féminine.

Le mois dernier, un de mes collègues a tourné les talons et a préféré aller voir si l’herbe était plus verte ailleurs.
Manquant donc de personnel, mon patron a recruté un mec, Mario, pour prendre sa place.
Aux premiers abords il paraissait sympa et plutôt beau gosse. À voir s’il allait réussir à bien s’intégrer dans l’entreprise.

Je suis du genre à blaguer facilement alors j’ai tenté de rapidement briser la glace avec lui. Bizarrement, il fut sur la réserve et j’eus en réponse qu’un léger sourire. Je sentis que l’ambiance allait être sympa avec lui !
Tant pis, je continuai à faire mon boulot en échangeant avec lui que professionnellement.

Néanmoins, je m’étais aperçue qu’il avait tendance à me reluquer pas mal. Peut être avait il une idée derrière la tête….

Un soir alors que j’avais fini ma journée, je me rendis à ma voiture dans notre parking privé.
J’essayai de la démarrer mais en vain. Le problème était que mon chéri était en déplacement à ce moment là et que je ne pouvais donc pas l’appeler pour venir me chercher.

J’insistai un peu jusqu’à ce que je vis Mario s’approcher. Il m’expliqua que si je continuai ainsi j’allai la noyer. Même si je suis du genre têtue, je l’écoutai et stoppai tout.
Autre problème, nous étions les derniers à partir de la société donc je ne pouvais demander qu’à lui s’il pouvait me ramener.
Alors oui, je pouvais très bien appeler un taxi mais vu le prix que cela coûte, non merci.

Je me lançai et lui demandai s’il voulait bien me raccompagner chez moi. Heureusement, il accepta volontiers d’être mon chauffeur privé avec un sourire assez ravageur.

Une fois dans la voiture, il entama la discussion et me posa plusieurs questions tant sur le travail que sur ma vie privée.
Finalement, il n’était pas si réservé que cela et avait même pas mal de discussion.
Au bout d’un moment, l’ambiance était bien détendue. Je me sentis à mon aise.

Il commença alors à me complimenter. Je souriais timidement à ses compliments. Il faut dire que cela fait toujours plaisir à une femme d’entendre qu’elle est belle et sexy surtout venant de la part d’un beau mec.
Délicatement, il posa ensuite sa main sur ma cuisse. Qu’est-ce qui lui prenait ? Avais-je fait quelque chose qui aurait pu lui laisser supposer que j’étais open pour un adultère ?

Le fait est que fébrilement j’enlevai sa main de ma cuisse. Pour être honnête, cela m’avait un peu émoustillé.
Il attendit quelques minutes puis posa sa main à nouveau sur ma cuisse mais cette fois-ci plus haut.
Je lui demandai gentiment de bien vouloir stopper ce petit jeu alors que pourtant cela m’excitait. Il était inconcevable pour moi de tromper mon homme.

Au même moment, il monta plus haut jusqu’à mon minou qui frétillait déjà dans mon tanga. Il caressa alors ma matrice et surtout mon clito ce qui a tendance à fortement m’exciter.

Le plaisir s’emparait de moi alors que ma tête me disait de tout arrêter.

Puis son doigt s’aventura vers mon petit trou qui fut rapidement englouti avec ma mouille. C’était trop bon pour que j’en reste là. Il prit un petit chemin puis éteignit le moteur.
Tout en me doigtant, il déboutonna mon chemisier et passa sa main sur mes seins. Mes tétons étaient déjà bien durcis par l’excitation.

Je m’avançai vers lui et l’embrassai sensuellement et pris en main sa queue qui n’attendait que d’être sortie de son caleçon.
Au départ, je la branlai puis la pris en bouche. Je ne suis pas une grande fan des pipes mais sa bite avait un goût spécial qui me donnait fortement envie de la gober au max. C’est comme si cet adultère me désinhibait complètement.
Pendant la fellation, j’entendis sa respiration s’accélérer. Apparemment, il avait l’air d’apprécier mon implication.

Lorsque je relevai la tête, il baissa son siège. Tant bien que mal, je montai sur lui afin d’enfoncer sa matraque bien profond dans ma chatte.
J’entrepris alors une cadence tantôt lente tantôt rapide pendant qu’il s’affairait avec mes nibards.

J’ondulais mon corps de la meilleure façon que je pouvais car il ne faut pas oublier que dans une voiture le confort n’est pas top.
Le plaisir était tel que j’accélérai de plus en plus jusqu’à ce que nous jouissions en même temps.

Mon chéri étant en déplacement, je le fis venir à la maison et nous avons remis cela durant toute la soirée.
Depuis, lorsque nous le pouvons, il nous arrive de baiser dans différents coins de la boîte.

Je ne suis pas fière de ce que je fais mais cet adultère est plus fort que moi mais surtout le plaisir qu’il me procure…

Crédit photo : marieclaire.fr, pornroleplay.org