Je suis un homme de 45 ans et je suis mariée depuis plus de 25 ans. Ma femme est devenue distante depuis plusieurs années, j’ignore pourquoi. Nous avons essayé la thérapie de couple, mais sans succès.
Le coup de pouce d’un ami
Je raconte mes problèmes à mon meilleur pote qui bosse à la compta. Dépité par ma situation, il m’a avoué que la fille de l’accueil craquait sur moi. Surpris et enchanté, je me rappelle maintenant qu’elle me fait les yeux doux chaque matin, mais je n’y ai pas crié gare. Je ne savais pas comment l’aborder, et encore moins comment organiser notre rencontre adultère, si elle le voulait bien. L’idée d’avoir une relation avec elle commençait à trotter dans ma tête. Elle est très belle, blonde aux yeux marrons. Elle a sûrement la trentaine, mais elle possède encore un joli corps. Je ne sais pas trop pourquoi elle en pince pour moi, mais tant mieux ! Mon pote m’a alors filé un tuyau en m’indiquant un site de rencontre coquin où elle était inscrite. Comme le hasard et la chance étaient de mon côté, quelle joie !
Des échanges satisfaisants
Arrivé chez moi, je me suis inscrit le soir. Ma femme n’était pas encore rentrée. J’ai retrouvé la jolie blonde. Je n’ai pas mis de photos, mais elle a tout de suite accepté de discuter. Elle a su que j’allais la contacter. Elle m’a ensuite expliqué que la rencontre était l’idée et était initiée par mon pote de la compta.
Nous avons pu discuter pendant une heure avant que ma femme n’arrive. Mais il était sûr qu’elle voulait juste du sexe avec moi. Elle m’a avoué qu’elle craquait sur moi depuis son arrivée.
Des mains baladeuses
Le lendemain au bureau, je suis arrivée plus tôt que d’habitude. C’était pour éviter de la voir au comptoir. C’était assez stupide, mais j’étais un peu gêné aussi ! Mais plus tard, nous nous sommes retrouvés par hasard dans la salle de photocopie.
Nous étions seuls, et elle m’a regardé intensément. Elle m’a chuchoté à l’oreille que j’étais sexy. Elle m’a ensuite effleuré l’entre-jambes. J’ai ressenti une grande excitation, que je sentais que je bandais. J’ai dû me retenir pour ne pas avoir une grosse bosse et déambuler comme un malade dans le couloir.
Nos petits échanges m’ont vraiment plu. Arrivée au bureau après la pause déjeuner, j’ai vu un petit mot, me disant « dans le parking à 18h ! »
J’étais tellement excité que je ne tenais plus sur place. L’après-midi était long à passer.
Un after work pas comme les autres
Une fois l’heure arrivée, j’hésitais un peu. Mais je devais bien quitter le bureau et rentrer. La jolie blonde de l’accueil m’attendait devant ma voiture.
J’ai sursauté, car elle n’avait pas du tout peur. Je me suis empressé d’aller dans la voiture et de la faire entrer. Elle ne m’a pas laissé le temps de m’asseoir, qu’elle s’est jetée sur moi.
Elle m’a chuchoté « Depuis le temps que je t’attendais ! » J’en avais la chair de poule. Elle a alors déboutonné mon pantalon et a mis sa main dans mon caleçon. Elle a commencé par tenir ma queue dans la main et m’a embrassé en même temps.
J’avais oublié le plaisir que ça donnait. Elle descend tout doucement et arrive à ma braguette. Elle a sorti ma queue et l’a astiquée doucement. Elle a mis le bout de sa langue et a commencé à longer ma queue. Elle se faisait plaisir, car je l’entendais gémir.
À peine que je pusse réagir, elle a fait allonger mon siège. Ce qui était plus discret. Elle était expérimentée. Elle a pris son aise et m’a fait une gorge profonde. Elle a peut-être senti que j’allais, car elle s’est retirée et m’a chuchoté « pas maintenant, attends un peu ! »
Elle s’est ensuite adossée sur son siège et a pris ma main. Elle a guidé mes gestes en me faisant m’asseoir, puis en mettant ma main sous sa jupe. Elle était chaude. Sa culotte était mouillée. Je me suis laissé aller et j’ai baladé mes doigts sur son clito. J’avais rapidement retrouvé la main.
J’avais fait glisser sa culotte de côté, et j’ai commencé à la doigter tout en l’embrassant dans le cou. Elle a gémi de plaisir. Elle a mis sa main sur ma queue et a suivi la cadence de mes doigts pour me masturber.
Elle m’a supplié de la pénétrer. Elle a rapidement sorti un préservatif de son sac. Je l’ai enfilé et je me suis allongé sur mon siège. Elle s’est assise sur ma queue. J’ai tellement ressenti du plaisir qu’après quelques mouvements de ses hanches sur moi, j’ai joui !
Elle l’a ressenti, elle s’était retirée. Mais heureusement, elle n’était pas déçue. Elle m’a rétorqué « on fera mieux la prochaine fois ! »
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