Les temps sont relativement difficiles et parfois il est nécessaire de prendre deux emplois si l’on veut mettre un peu de beurre dans les épinards. Mon copain est conducteur de bus et moi vendeuse à temps partiel.
Depuis peu, je me suis lancée dans la vente à domicile de sextoys. Cela me permet de faire rentrer de l’argent et de rencontrer des personnes venant de différents horizons.
Bien évidemment, je fais cela lorsque mon chéri est à son taf. Je n’aime pas l’avoir dans les pattes quand je bosse.
Un jour, j’avais prévu une réunion avec cinq personnes dont quatre femmes et un homme. C’était la première fois qu’il y avait un mec.
Les voilà qu’ils débarquent à tour de rôle à la maison. Tout le monde prit place dans le salon.
La réunion pouvait enfin commencer. Je leur présentai les derniers accessoires tendances en matière de sextoys.
Au début, l’ambiance était un peu crispée puis au fur et à mesure elle s’est décontractée.
Il faut dire que j’aime bien mettre les gens à l’aise et me sers pas mal de blagues pour détendre mes convives.
L’homme en question s’appelait Victor et devait avoir environ la trentaine. Il était brun avec quelques cheveux blancs, les yeux marrons et une silhouette assez élancée.
Je voyais durant la réunion qu’il n’était pas insensible à mon charme.
Sans vouloir me la péter, j’ai 35 ans, brune, les yeux bleus avec un 90C en guise de tour de poitrine. J’aime d’ailleurs bien la mettre en avant et ce jour là je n’avais pas dérogé à la règle.
Au fil du temps, tout le monde était vraiment à son aise. Les discussions s’enchaînèrent où nous faisions chacun part de nos différentes expériences avec des sextoys. Contrairement aux autres, Victor restait un peu en retrait.
L’heure de fin sonna. Les quatre femmes partirent mais Victor traînait un peu la patte. Il vint me voir pour me demander conseil quant à l’utilisation d’un sextoy que je leur avais présenté.
Tout en me parlant, je voyais qu’il avait du mal à détacher son regard de mon décolleté. Cela commencer à m’exciter et je pense qu’il l’a ressenti puisque il s’avança vers moi pour m’embrasser.
Rien qu’en sentant ses lèvres sur les miennes, je sentis immédiatement qu’il y avait quelque chose de particulier qui se passait.
Nos langues se mélangèrent laissant place à un baiser tout en sensualité qui n’a fait que réveiller mon désir.
Je ne savais pas encore ce qui allait se passer mais je me doutais que j’allais commettre mon premier adultère.
J’aime mon chéri mais l’excitation et le désir étaient plus forts et s’emparaient totalement de moi.
Il me poussa sur le canapé et commença à déboutonner mon chemisier. « Depuis tout à l’heure j’ai envie de bouffer tes seins ! »
Bein alors mon petit cochon, il cachait bien son jeu.
Il prit mes seins dans ses mains, les caressa, pelota et embrassa à pleine bouche. Il s’amusait à mordiller mes tétons qui étaient déjà bien durs.
Je me suis rapidement laissée aller à tel point que je n’avais même pas vu qu’il avait fait sauter son pantalon et son calbute.
Sa queue était toute dure et son gland bien gonflé ne demandait qu’à être léché.
Je ne mis pas longtemps à lui rendre une petite visite. Je pris soin de bien le laper tout en malaxant ses couilles. Monsieur avait l’air de fortement apprécier ma petite pipe.
Je tentai même une gorge profonde mais c’était un peu trop pour moi. Je préférai m’en tenir à une fellation bien humide.
Mais j’en voulais plus alors je pris une capote que je lui enfilai et le fit asseoir sur le canapé.
Je m’empalai directement sur sa bite fièrement dressée en me mettant à califourchon sur lui. Je sentis que sa pine était entrée entièrement dans ma chatte.
J’entrepris des va et vient lents puis rapides. J’étais en train de me déchaîner sur sa queue qui me procurait un plaisir fou.
Puis nous nous sommes mis à même le sol où il me prit en cuillère. Il m’a pilonné tellement fort que je pense que les voisins ont du entendre mes râles de plaisir.
En même temps, j’eus même droit à un petit doigt dans mon cul mais il n’eut pas le temps de s’y atteler car il a rapidement joui.
Il s’est donc retiré et m’a bouffé la chatte jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme.
Nous nous sommes à nouveau embrassés puis rhabillés. Il est partit en me laissant son numéro mais je ne l’ai jamais rappelé.
Cette baise adultère était intense mais je n’avais pas envie de prendre le risque que mon conjoint l’apprenne…