Le but du mariage est de rester fidèle jusqu’à ce que la mort nous sépare… Voilà ce que dit le curé avant de valider nos vœux.
Pour moi, il n’a jamais été question de tromper mon mari mais parfois la vie nous offre des petites surprises que l’on peut refuser.

De nature assez coincée et réservée niveau cul, mon mari n’a pas trop le choix pour me baiser. Cunni, fellation de temps en temps et pénétration vaginale.
Il est vrai que cela n’est pas vraiment excitant mais je n’ai jamais souhaité tenter autre chose.
Du moins, avec lui….

Un matin alors que j’étais de repos, on sonne à la porte. Nous avions commandé un livre pour apprendre à réaliser des travaux chez soi. Ce devait être le facteur qui me le livrait.
J’ouvris la porte et effectivement c’était bien lui. Cependant, ce n’était pas celui d’habitude, vieux et pas vraiment aimable.
J’avais face à moi un homme, beau gosse et avenant pour le coup.

Je devais signer un récépissé mais son stylo ne fonctionnant pas, je le fis entrer et allai en chercher un.
Nous étions en été  j’étais donc vêtue d’un top et un short laissant entrevoir légèrement mes fesses.
Je me penchai pour attraper un stylo dans un tiroir. J’étais dos au facteur et lorsque je me retournai, je vis un sourire au coin de ses lèvres.

Je pense que le coquin s’était bien rincé l’œil en matant mon cul.

Il se mit à me complimenter et à tenter d’engager la conversation. Je suis assez sociable donc c’est tout naturellement que nous nous sommes mis à discuter un bon moment.
Je voyais son regard qui déviait souvent du mien pour regarder mes jambes et mon décolleté.
J’étais à la fois gênée et fière de me faire mater de la sorte.

L’ambiance devenait de plus en plus décontractée et je me sentis complètement à l’aise en la compagnie de David. Oui, nous avions quand même échangé nos prénoms !
Il était l’heure qu’il reparte pour continuer sa tournée et au moment de me dire au revoir, il m’embrassa.

Je fus surprise mais ne le repoussai pas pour autant. Ce baiser était tout à fait délicieux et je ne voulais pas le stopper.
Tout en m’embrassant, une de ses mains se mit à caresser ma poitrine.
J’étais sur le point de commettre mon premier adultère et bizarrement j’étais toute excitée.
Nous nous dirigions vers le canapé où nous entamions pelotages, baisers et caresses.

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Je suis frileuse de faire des fellations à mon mari mais pas à David. Je me mis à palper sa queue par dessus son pantalon. Le cochon bandait fort.
Je la libérai en la sortant de ses bouts de tissus puis me mit à la lécher d’un bout à l’autre.
Ses boules, sa verge mais surtout son gland, tout y passa. Je fus même surprise de la gober presque en entier.
Tout en le pompant, je sentis que mon petit string était bien humide.

Je me relevai et l’embrassai à nouveau puis il m’allongea sur le canapé et ôta mes vêtements. J’étais alors totalement nue face à lui qui me dévorait du regard.
Il plongea directement sa tête dans mon entrejambe et entreprit un cunnilingus.
Mon mari a l’habitude de m’en faire mais pour être honnête David avait une manière de faire qui était nettement supérieure.
Mes lèvres, mon clito, il prenait soin de tout lécher avec des coups de langue bien maîtrisés.

Au détour de son bouffage de chatte, il s’amusait avec son doigt à trafiquer ma rondelle.
J’étais totalement à lui et même si je n’avais jamais tenté la sodomie, avec lui j’étais prête à tout tant l’excitation m’envahissait. Mais bon, une chose à la fois.

Il me tira vers lui et me prit en missionnaire.

Sa bite entra directement au fin fond de mon vagin où il me bourra sauvagement.

Je prenais un pied monstre moi qui d’habitude ne suis pas portée sur le sexe, j’étais comme métamorphosée et j’aimais ça.
Il pouvait faire ce qu’il voulait de moi et il l’avait compris.
Il m’a prise dans différentes positions pour finir en levrette.

Je savais que là ce n’était pas ma chatte qu’il voulait mais mon fion. Je pris alors soin de bien me cambrer pour lui présenter au mieux mon cul.
Deux trois coups de langue à l’entrée histoire de le lubrifier un peu et je sentis son gland prêt à entrer.

Il y alla quand même doucement puis quand il vit que ma rondelle était assez malléable, il l’enfonça son engin dans sa quasi totalité. La douleur fut mon premier ressenti mais le plaisir prit rapidement le dessus.
J’étais là en train de me faire enculer chez moi par le facteur. Je pense que pour un premier adultère, je ne pouvais pas faire mieux !
Il me sodomisa vivement pendant un moment jusqu’à ce que je jouisse intensément. Au même instant, il gicla et m’offrit toute sa semence au fond de mon anus.

Une fois rhabillé, il est partit en prenant soin de m’embrasser et de me laisser son numéro.
Nous nous revoyons de temps en temps et mon mari n’a pas encore eu connaissance de cet adultère.
Par contre, depuis cette fameuse matinée, mon cul appartient à une seule personne, mon petit facteur…

 

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